Galahad entra dans le réfectoire,le pan de sa chemise qui dépassait de son pentalon noir voletait un peu, il regarda la pièce d'un air évasif avant de se diriger vers une table totalement libre...
Il posa son journal sur la table avant d'aller se chercher un café,un pain au chocolat et une pomme il vint alors s'asseoir là où il avait posé son journal,il passa machinalemet la main dans ses cheveux avant de faire un mouvement à la loréal (yes so sexy).
Il ouvrit son journal et commença à le lire tout en sirotant son café,apperement le taux de téléspectateur ne cessait d'augmenter pour la téléréalité dont le pensionnat était l'objet,il plissa alors les sourcils en se demandant:*Vin dieu,comment autant d'attardés mentaux peuvent-ils s'imbéciliser devant ce show?Mmouais en même temps c'est vrai que vu le concept de la princess academy ça peut devenir interessant....*
Il eut un petit sourir narquois à cette pensée avant de se replonger dans son journal,il regarda brièvement les taux boursiers ,enfin il finit par plier son journal qu'il jetta négligeament sur la table.
Il releva la tête et examina attentivement la salle,peronne de bien interessants apperement,c'est vrai que à part lui et deux trois élèves la salle semblait bien vide,il regarda le personnel chargé de la nourriture et se dit qu'il faudrait vraiment en changer parceque rien qu'en regardant ces horreures ça avait de quoi vous filler une nausée de tout les dieux,il changea alors son regard de directon une moue de dégout affichée sur son visage.
A peine il prit son pain au chocolat et le souleva vers sa bouche que la porte s'ouvrit en un bruit fracasant...

*Diantre quel est donc le manant qui fait une entrée aussi bruillante et dérengeante*

Redéposant son pain au chocolat il se tourna alors vers la porte d'entrée et regarda la personne qu'il venait de qualifier de "manant" prêt à faire scandale,non mais c'est vrai quoi le petit déjeuner c'est le repas le plus important de la journée et en plus son pain au chocolat à bien failit voller par terre à cause de ce gueu qui ne sait point faire preuve de délicatesse,et pour Galahad tout ce qui contient du chocoat c'est de l'ordre du sacré!

*NON MAIS QUUUWAAAAAAAAAAAAAAA?!*
Non seulement cette vilaine était entrée en fesant un bruhaha indescriptible mais en plus elle venait infligée à Galahad l'obligation de supporter son air de "j'ai la tête dans le c*l et ne me faite pas chier" en s'asseyant juste devant lui...
*Non mais hé ho ,pour qui se prend-elle cette stupide donzelle??de plus avec ces mèches rouges qui partent en sucette elle ressemble à un lion*
Elle se permit de lui faire un sourire en coin,c'est là que Galahad réprima un fou rire trés discretement car la demoiselle avait quelques miettes de son croissant collées à son menton,Galahad dégusta son pain au chococolat avec grâce,élégance et classe en digne aristocrate qu'il était,il n'eut pas besoin de se frotter le contour de la bouche par crainte d'avoir deu chocolat ou des miettes collé à son visage car il le savait trés bien il n'en avait pas,LUI...
Il finit son café alla en rechercher un autre,qui était trés trés chaud,il croqua sa pomme et regarda la demoiselle d'un air narquois,les miettes collées au menton de la jeune fille le fesait rire,aprés avoir avalé ce qu'il avait en bouche il regarda Abigaël Tresor,la queen car vu les regards que les gens lui jettait ça ne pouvait qu'être une queen et il lui dit d'un air condescendant:"ma chère,savez-vous que la cafétaria est ouverte à toutes heures de la journée,il n'est donc point util de vous faire des résèrves,sans compter que cela vous donne un aspect des plus grotesques,si je puis me permettre."
Il ne lui laissa même pas le temps de répondre avant de reprendre sur un ton qui voulait se voulaitt oujours faussement condescendant:"arrêtez de me dévisager ainsi,vous allez me faire rougir..."
Il se doutait pertinament qu'elle l'avait fixé dans le but de le mettre mal à l'aise ou de le fiare réagir comme un couard ou comme un vulgaire gens du peuple qu'il n'était pas.Et il savait trés bien qu'elle n'imaginait même pas avoir des miettes sur son menton...
Galahad remarqua que maintenant plus personne ne fesait de bruit dans le réfectoire et sentit quelques regards braqués sur eux;*les gens du peuples sont-ils si impressionables?*.
Il regarda la quenn d'un air mesquin prés à se délecter de sa réaction,car il n'en doutait pas cela allait être trés jouissif.

J’étais irritée par l’attitude du garçon. Il avait l’air de se retenir de rire. Tout le monde nous regardait mais j’en avais cure. Il mangeait son pain au chocolat avec élégance. Il devait surement venir d’une famille aisée. Mes soupçons sur sa taille se révélèrent exacte lorsqu’il se leva pour prendre un nouveau café. J’avais aussi fini le mien mais un seul me suffisait. Un élan de fatigue me prit sans prévenir, au moment où il revenait. Je réussis à me contrôler mais cette nuit presque blanche pourrait très bien se manifester à nouveau.
Finalement, il se mit à parler :

"ma chère,savez-vous que la cafétaria est ouverte à toutes heures de la journée,il n'est donc point util de vous faire des résèrves,sans compter que cela vous donne un aspect des plus grotesques,si je puis me permettre. arrêtez de me dévisager ainsi,vous allez me faire rougir..."

Son ton faussement condescend ne me plaisait pas mais cela rendait le jeu encore plus drôle. Il me lança un regard mesquin et attendait ma réaction. J’essuyais le tour de ma bouche, un peu gênée d’avoir mangé comme une sauvage. En effet, un troupeau de miettes se regroupa sur ma serviette. Malheureusement pour lui, ce n’était pas mieux. Il sourit et un joli morceau vert sur sa dent fit son apparition. Un bout de la peau de sa pomme. Bref, je lui répondis avec un ton ironique :

« Pourquoi le faîtes-vous aussi, si vous n’y voyiez aucun avantage ? Oh et je suis désolé, je ne voulais pas te mettre mal à l’aise. »

Je passais ma langue sur mes dents, histoire de vérifier que je n’étais pas dans le même cas que lui, puis je souris. Un sourire à la fois gentil et ironique, surtout ironique en réalité. Je sentais que nous allions bien nous entendre.

Galahad fut quelque peu déçu par la réaction de la jeune fille,il avait placé trop d'espoir en elle,il la penssait plus tête brulée en fait c'est juste quelqu'un qui avait de la gueule mais qui n'agissait pas,il finit sa pomme tranquillement sans prêter grande attention à la demoiselle,il enleva tout morceau de pomme de ses dents avant d'envoyer le trognon de pomme dans la poubelle d'un simple mouvement de main.(oui il est doué et il a la classe)
Il dévisagea alors Abigaëlle d'un air lasse avant de lui répondre
"Holaaaa vilaine!! Rien ni personne ne vous autorise d'être si famillière avec moi.il reprit desuite sans lui laisser le temps de répondrePlait-il vous pensiez vraiment que si peut me metrait mal à l'aise?"

A peine ces mots prononcés que tout le personel et élèves dégarpirent vite fais du réfectoire,persone ne voulait assister à ce qui allait suivre,même si tout le monde ignorait ce qui suivrait,c'est fou quand même comme on veut éviter les emmerdes...
Il se leva et dit du même air blasé:
"HAAA ces gens du peuple,un rien les effrayent,quelle bande de couards..."

Il remarqua qu'Abigaël passa sa langue sur les dents,il souria,c'est vrai que ça aurait été pas de chance si en plus d'avoir des miettes sur le menton elle en avait aussi sur les dents.
Il regarda la quenn;"Queen Abigaël Tresor,je présume..." il ne présumait pas,il était sur à cent pour cent.Il fit une réverence d'une grande élégence et d'une classe à tomber par terre, comme toujours à la hauteur de son rang et de son éducation.
Il lui rendit son sourir avant de boire son café d'une traite.
Il la regarda de nouveau...c'est fou comme de fortes têtes sont prêtes à tout pour faire exploser l'autre le premier,décident de mettre fin à ce petit jeu stupide et fort peu divertissent il se présenta :
" je me présente, Galahad Lebenslust" il détourna le regard d'elle prêt à s'en aller et à le laisser en plan,nan mais après tout alle méritait pas mieux depuis qu'elle 'était arrivée elle cherchait à lui faire peter une case...

"Holaaaa vilaine!! Rien ni personne ne vous autorise d'être si familière avec moi. Plait-il vous pensiez vraiment que si peut me mettrait mal à l'aise?"

Après cette phrase, le réfectoire se vida comme par magie. Enfin, rien de vraiment magique en faite, juste des « menaces » en l’air. Il m’appela par mon nom (et prénom) ce qui me surprit un peu. D’où le connaissait-il ? Il paraissait sur de lui en plus. Je n’étais pas dans cette école depuis longtemps, vraiment pas, trois jours pas plus. Etrange… Enfin, il finit par faire une révérence, ce qui prouvait son appartenance à une famille haut-placée, et par se présenter :

" je me présente, Galahad Lebenslust"

Hum…je n’en avais jamais entendu parler. En même temps, quoi de plus normal. Je ne connaissais pas tout le monde mais son nom compliqué aurait pu m’être familier. Il détourna son regard de moi, rien de vraiment grave mais il semblait vouloir partir et ça ne me plaisait pas. Je voulais des ennuis ! Je voulais me battre ! D’ailleurs, ça m’énervait d’aller par quatre chemins alors autant lui dire franco :

« Ecoute, Galahad, je suis de mauvaise humeur et j’ai besoin de taper quelqu’un ! Pas de chance c’est tomber sur toi… Je suis sure que ça ne te dérangera pas de te battre un peu avec moi, nan ? »

Il s’était retourné vers moi et me regardait surpris par tant de franchise. Je souriais comme à mon habitude et attendais patiemment sa réponse, positive je l’espérais. Mes poings et mes jambes me démangeaient. J’étais comme une lionne à l’affut du moindre mouvement de sa proie…Une proie dangereuse qui pourrait la blesser mais qui en valait la peine…

Finalement, Galahad se mit en position, prêt à attaquer ou se défendre. Bien sur il ne put s’empêcher de faire un commentaire :

"Allez,après tout je ne risque pas grand chose,mais je te préviens hors de question que je lève la main sur une femme,même si cette femme n'est qu'une vile catin..."

Nan mais qui se prenait-il pour me parler ainsi ? Son langage était soutenu certes mais insultant. Je ne m’attendais vraiment pas à ce genre de parole et cela m’énervait fortement. Il ajouta une couche :

"C'est fou ce que les donzelles peuvent inventer pour avoir l'honneur de toucher mon corps"

C’était moins soutenu maintenant mais bon je n’avais pas vraiment envie de toucher son corps pour son plaisir au contraire. Je voulais lui faire mal ! J’étais vraiment d’humeur sadique aujourd’hui ! Je ne me reconnais plus… Enfin, il n’avait juste pas de chance de se trouver là quand j’étais de mauvaise humeur, c’était tout. J’hésitais à l’attaquer même si cela ne se voyait pas puisque je restais immobile. J’hésitais par où l’attaquer en réalité. Une petite feinte ? Il le verrait surement mais bon, je faisais ça pour me calmer… Nan, je n’avais pas envie de me battre comme ça. Je voulais que se soit surprenant et inattendu pas un stupide combat. Il m'avait déçu et l'envie me passa. Je lâchai dons ma garde et dis tout sourire :

« TFinalement tu serais donc prêt à me frapper ? Quel gentleman ! Je n’ai plus envie de me battre maintenant, tu peux disposer »

Je retournai vers ma tasse pour me servir du thé cette fois-ci. Il n’avait pas l’air d’apprécier les ordres plus que moi mais je ne m’intéressais pas le moins du monde… Oh non ! Une vague de sommeil ! Elle était puissante. Mes genoux en cédèrent. Je me retrouvai à terre devant Galahad ! Quelle horreur ! Il n’aurait pas pu m’arriver pire. La vague avait disparu mais mes membres étaient un peu engourdis…

Galahad rayonnait de me voir à terre, si je n’étais pas encore sous le choque de ma chute il se serait pris un poing mémorable dans sa gueule d’ange. Heureusement personne d’autre ne se trouvait dans la pièce, enfin il était vraiment le dernier que je voulais voir à cet instant. La vie est injuste. Comme si je n’étais pas assez ridicule, il en rajouta :
"Dientre,c'est la première fois que je vois quelqu'un innover à ce point,et tout cela dans le seul et unique but de baiser mes pieds."

Avec son regard supérieur, je repris des couleurs. J’étais de nouveau énervée ! Et, continuant de me ridiculiser, il me leva et m’assis sur la chaise. Les forces me revenaient mais trop doucement à mon gout. C’était peut-être plus qu’un coup de fatigue finalement. J’espérais ne pas être malade… Il me déposa une tasse de thé à coté de moi puis s’éloigna vers la porte. Je n’étais pas touchée de cette petite attention, après tout, n’importe quels domestiques faisaient ça.

"Au revoir miss Abigaël,et d'habitude c'est à trois qu'on apprend à marcher,comme quoi,chacun grandit à son rythme. Mais ne t'en fais pas un jour tu y arrriveras aussi!"

Tiens je n’avais pas remarqué qu’il voulait me parler. Encore de la médisance, mais pour qui se prenait-il à la fin ? Il éclata de rire. Un rire agréable à l’oreille, je devais avouer. Qu’il aille au Diable ! Qu’il s’en aille loin, loin, loin de moi ! Malheureusement, je ne pus m’empêché de dire ce que je pensai :

« C’est ça ! Pars loin d’ici ! »

Il se retourna et me toisa du regard. Enervée d'avoir parlé, je m’étais levée et approchai de lui plus vite qu’il ne l’avait imaginé. Mes forces étaient revenues et je lui collais un poing dans le ventre. Ce que ça faisait du bien de cogner !

Galahad eut un nouveau foux rire en entendant Abigaël lui crier de partir loin,ô ça non,il n'allait pas se gêner pour partir et il n'avait sûrement pas attendut qu'elle le lui dise pour le faire...

En un éclair Abigaël s'était retrouvé devant lui et lui avait assené un coup de poing dans le ventre...
De surprise il se redressa et administra un baffe magistrale à Abigaël qui faillit en perdre l'équilibre,mais quellle folle se jetter devant lui avant de le frapper,il regarda sa chemise d'un air dégoutté avant de lui dire:

"Tu m'as touché,et tu as souillé ma chemise...."

Il leva les yeux vers Abi qui se tenait la joue l'air ahurie et énervée,à ça,elle ne devait sûrement pas s'attendre à se ramasser une belle claque surtout qu'en tant que reine peux de gens osaient ce genre de comportement envers elle...

Il la regarda d'un air méprisant et dégouté à la fois,et en même temps il rageait intérieurement de d'être laissé emporté par cette simple donzelle...
Il ne resta pas plus longtemps,la regarder l'énervait au plus haut point,et voir sa joue rougie et gonflée à cause de lui ne fesait rien pour arrangée les choses,il tourna brusquement les talons et s'en alla...

"On voit que tes paysans de parents ne t'on pas appris la bienséance,demoiselle Abigaël"

Il passa les portes du réfectoires qui s'ouvrirent violement et bruyament lorsqu'il les poussa...
Il s'en alla en fulminant,cette gueuse,cette manante,cette....cette...cette catin,avait osé porté la main sur lui chose que même ses parents n'avaient jamais fait,il s'en alla blessé dans son amour propre parcqu'il c'était abaissé à gifflée une vulgaire fille qui n'en valait ,sans aucun doute,pas la peine...

Galahad avait été très surpris et je le fus à mon tour lorsque sa main claqua contre ma joue. N’était-ce pas un peu le monde à l’envers ? Je collais des poings et lui des baffes… Enfin, cela n’était pas important comparé à la douleur qui enflammait ma joue. Je posais la main dessus par réflexe et il dit en regardant sa chemise :

"Tu m'as touché et tu as souillé ma chemise...."

Ce gars m’énervait à un point, il ne pouvait pas savoir ! J’étais encore sous le choc de la gifle. En fait, j’avais comme une impression de déjà-vu. Son regard qui mêlait surprise et énervement, sa main claquant contre mon visage et, à mon tour, la surprise et la haine… Mon regard s’assombrit… Cela me rappelait la dispute entre ma mère et moi pour mon envie de créer des vêtements. Seul mon corps était présent maintenant, mon esprit revivait en boucle l’instant qui me hantait. J’entendis vaguement parler de paysans et mon prénom mais rien ne m’alertai. Des larmes commençaient à monter dans mes yeux. Non ! Je ne pouvais pleurer ! Surtout pas devant cet imbécile !

Soudain, un bruit me ramenait à la réalité. Les portes s’étaient ouvertes bruyamment. Il partait et sans que je ne comprenne pourquoi cela me rendit encore plus triste. Je ne voulais pas me retrouver seule… encore. J’en avais marre de toujours me débrouiller seule. Je voulais des amis pour m’amuser et rire avec eux. J’ouvris donc la porte à mon tour et dis en attrapant l’arrière de sa chemise :

« Non ! S’il te plait ! Je ne veux pas rester seule… pas maintenant ! »

J’avais des difficultés à ravaler mes larmes mais j’y arrivais tout de même. Mes yeux étaient mouillés mais rien ne s’échappait ! C’était déjà un soulagement. Je lâchais sa chemise et posai ma main sur mon front. J’avais chaud. Mon visage me brulait. Je sentais mes jambes s’affaiblir. J’étais donc vraiment malade. J’arrivais tout de même à rester debout mais pour combien de temps ? Je prenais sur moi pour essayer de cacher ma soudaine (et seconde) faiblesse. Ma tête semblait être compressée, j’avais une énorme migraine. Quelle horreur ! Je ne suis que rarement malade et il faut que je le sois aujourd’hui, devant ce prétentieux. Même avec son caractère désagréable, je ne savais pourquoi mais je voulais qu’il soit mon ami… Après tout nous étions quittes maintenant.

Galahad sentit quelquechose,ou quelqu'un,accroché à sa chemise il se retourna et vit Abigaël,qui semblait être au bord des larmes,lui demander de rester avec elle...

*NAAAAAN,mais c'est quoi ce délir??*

Il la regarda et se sentit honteux en voyant sa joue rougie et enflée,il nota que de plus elle n'avait psa l'air bien du tout...
Ses jambes avaient l'air de la trahir,il la vit mettre une main sur son front,Galahad eut un pincement au coeur en la voyant comme ça,elle lui rappellait vaguement une petite fille qui s'était accrochée à sa chemise de cette façon,lors d'une réception, parcequ'elle voullait grimper sur ses épaules pour voir ce que ça fesait d'être grande,sauf que là,Abi ne voulait pas monter sur ses épaules...

Il posa sa main sur le front d'Abigaël qui était vraiment brûlante,sans dire un mot ni lui demander son avis il la pris sur son dos assez facilement,il se remarqua qu'elle était assez légère,il commenca à avancer mais aprè un moment il s'arretta et pour poser une question à Abigaël.

"Où est ta chambre?? Dans ton état il vaudrait mieux que tu reste couchée et que tu te reposes..."

Il n'en revenait pas,il portait sur son dos la fille qui venait de lui donner un coup de poing dans le ventre,oui mais bon,il n'allait quand même pas la laisser crever là non plus?!
Quoique ça aurait pût être amusant....
En même temps il s'en voulait vraiment de l'avoir fappée,même si elle l'avait bien cherché...

Il se remit en route vers le batiment où était logé les filles,de la bàs il supposait que l'aille réservée aux queens ne serait pas dur à trouver,mais pour le reste il aurait vraiment besoin de l'aide d'Abi....

Galahad posa sa main sur mon front. Elle me parut froide même si c’était mon front qui était chaud en réalité. Sans me prévenir, il me prit sur son dos. J’étais flattée qu’il ne me laisse pas en plan. Il aurait très bien put le faire vu le caractère qu’il avait montré jusqu’à présent. Après tout je lui avais mis mon poing dans le ventre… Enfin, cessons de penser à ce geste irréfléchi.

Il marcha toujours en me portant un moment, avant de s’arrêter pour me demander :

"Où est ta chambre?? Dans ton état il vaudrait mieux que tu reste couchée et que tu te reposes..."

Je hochais de la tête, chose stupide puisqu’il ne pouvait me voir. Il se dirigeait vers l’habitation des Queens. Il n’avait pas besoin de mon aide tout de suite alors. Mes pensées furent plus claires et je remarquai enfin dans quelle position embarrassante je me trouvais. J’étais à cheval sur son dos et mes bras entouraient son cou sans trop le serrer pour ne pas l’étouffer. Je pouvais même le sentir respirer sous moi. Ca aurait été amusant si je me sentais mieux.

Il entrait finalement dans le bâtiment et je lui indiquai avec des brefs "droites" et "gauches", mon appartement. Il me déposa devant et je sortis la clé de ma poche. J’ouvris ma porte et le fis entrer. Il n’aurait peut-être pas la chance de voir la chambre d’une Queen une nouvelle fois.
Une fois qu’il fut à l’intérieur, je m’assis sur mon lit et lui dit :

« Merci beaucoup de m’avoir transportée jusque ici. Tu peux visiter un peu si tu veux. Je me sens un peu mieux donc je pense que demain je serai guérie »

Il ne s’intéressait surement pas à ma santé. Il m’avait ramenée par pitié, je m’en doutais mais je lui étais tout de même reconnaissante. Je le laissai visiter en paix et m’allongeai sur mon lit. Juste le haut de mon corps et mes cuisses étaient posées dessus. Mes pieds ne touchaient plus le sol dans cette position mais je n’en avais cure.

Finalement, je repris la parole sans me relever pour autant :

« Alors ? Ta petite visite te plait ? »

Je ris doucement et pour un court instant puis je gardai un sourire sur mes lèvres. J’étais bien dans cette position et avais envie de parler un peu avec Galahad.

[Suite chambre d'Abi,Désolée Mekya :) ;)]