Nom & Prénom: Je me nomme Andrew Von Valentine, mais mes amis m’appellent Drew.
Age : Je suis né le 8 Décembre 1991, j’ai 18 ans.
Sexe : Je suis un mec, tu veux vérifier ?
Orientation sexuelle : J’ai déjà couché avec des filles, mais à vrai dire j’en sais trop rien.
Nationalité : Anglaise et Allemande
Qui êtes vous ? : On m’a expliqué que je serais une princesse, à cause de ma gueule d’ange sûrement. Ça me fout les boules à un point ! Vous ne pouvez même pas imaginer. Je dois céder au désir, sexuel ou non, de puceaux en chaleur ? L’espoir fait vivre !


Moi ? Être une princesse ? C’est une blague ? Qui pourrait croire un truc pareil ? Vous avez vu mon caractère ? Je suis quelqu’un de râleur et assez vulgaire, mais contrairement à ce qu’on pourrait penser je ne suis pas bagarreur, je préfère utiliser les mots. Je n’ai pas trop de moral pour ce qui est du sexe, en fait tout est bon pour avoir un plan cul. Pardonnez mon langage, j’espère qu’il ne vous choque pas trop. Parlons de moi, je suis tellement génial. Narcissique ? Un peu sûrement, j’ai de quoi non ? Je ne suis pas sensible, je ne pleure pas devant les films romantiques et je ne trouve pas qu’un poème c’est « mignon ». Pourtant je suis un littéraire, et ça plait aux filles, elles sont assez simples à manipuler en fait. Elles jouent les reines de glace, mais elles fondent à vue d’œil. Sous mes airs provocateur, arrogant et vulgaire, je peux tout de même être galant et poli mais ceci seulement dans mon propre intérêt.
Certes j’ai un sale caractère, et j’en ai parfaitement conscience, mais j’ai passé l’âge d’être gentil, et puis les filles n’aiment pas les gars gentils. Elles préfèrent les salauds qui les font souffrir, non mademoiselle n’essayez pas de nier, je le sais, je vous connais par cœur.

L’argent n’est pas une chose après laquelle je cours, sûrement parce que j’estime avoir déjà tout ce qu’il me faut à ce niveau là. Les gens apprécient ma compagnie, et j’ai souvent été populaire malgré moi et mon caractère bien trempé. Je suis de nature franche et j’aime dire ce que je pense au risque de blesser les gens. En fait, les blesser m’importe peu. J’aime beaucoup les choses simples, les choses futiles auxquels on ne prête pas attention, pareil pour les filles, je n’aime pas celles qui sont trop superficielle, mais ce sont les proies les plus faciles. J’aime l’art, l’art en tout genre. La musique, le dessin, la peinture et toutes les formes d’arts. Je joue de la guitare depuis tout petit, ainsi que de l’harmonica, ma voix n’est pas trop laide non plus. Niveau dessin disons que je me débrouille, je dessine surtout des portraits ou des mangas quand je m’ennuie en cours. Je suis intelligent, oui au premier abord on ne dirait pas, et je passe souvent pour un petit rebel à la con. J’ai un QI un peu plus élevé que la moyenne et je suis très doué en cours, c’est sûrement grâce à ça que j’ai étais admis ici je pense. Je n’aime pas l’autorité, et les professeurs me détestent souvent pour ça, ils disent que je ne foute rien et que mes facilités font que je m’en fous totalement du cours. Ils ont raison. En les écoutants à peine je peux retenir tous leurs cours à la phrase près. Je reste indifférent à beaucoup de choses, voilà ce qui énerve le plus les gens chez moi je pense.
Enfin bref, je suis parfait quoi.

Qualités: Ma principale qualité est d’être moi. C’est un peu comme si j’étais Dieu, mais en mieux.

Défauts: Mes défauts ? Vous pouvez chercher. C’est comme chercher des défauts à la perfection même.

Aime: Je reste ce que j’aime le plus, viennent en suite toutes les choses auxquels on prête très peu d’attention : Le ciel, la nature, les choses simples entres autres.

N'aime pas: Les gens trop facile à cerner, ils n’ont aucun intérêt à mes yeux.


Pardonnez-moi, mais dès que je passe devant une glace, je ne peux m’empêcher de me trouver superbe. Mon visage est fin et ma peau pâle, mon nez un peu recourbé. Mes yeux sont verts, allez savoir pourquoi les filles adorent ça. Ils sont perçants sans pour autant être méchants, ils lisent en vous seulement, vous dénudent si facilement.

Je n’ai pas choisi mon visage, je n’ai pas choisi d’être beau, et cela m’énerve que les gens pensent que nos visages reflètent ce que nous sommes. C’est faux. Absolument faux. Je n’ai pas choisi qu’on me harcèle quand je vais en soirée ni que des filles hystériques me prennent en photo à la sortie du lycée. C’est horrible vous savez ? Alors ne me jalousez pas je vous pris. Au lieu de vous morfondre car vous n’avez pas mon visage, pas ma chance et tout cela pensez à ce que vous avez et que je n’ai pas. Améliorez vous et donnez vous les chances de réussir, cela ne me plait pas que tout moi soit céder pour ma beauté. Je suis quelqu’un, je ne suis pas qu’un corps.

Mon visage est assez efféminé, tout comme mon corps frêle bien que solide et robuste. Est-ce pour cela que j’ai été choisi comme Princess ? Me travestir… Je n’avais jamais eu cette idée, et je ne pensais pas être choisi en tant que Princess. Certes plusieurs de mes amies avaient déjà essayé mais en vain.

Pour parlez de ma silhouette, je disais donc que j’étais plutôt mince environ 56 kg, pour 1m72. Mes bras sont assez long et musclés tout comme mes jambes qui pourtant restent fines. Les gens me jalousent souvent, parce que je suis beau, et qu’en plus j’engloutis une tonne de nourriture sans grossir. J’adore manger, je préfère le sucré, même si c’est plus féminin dit-on. On me dit souvent que je suis doué en sport et que je devrais plus m’investir. Je n’ai pas envie c’est inutile je trouve. Je divague, pardonnez-moi, mes cheveux sont bruns aux reflets rouges, c’est une coloration bien entendu, ils sont mi-longs et fins tombant un peu au dessus de mes épaules. Niveau pilosité je n’ai pas à me plaindre, je suis plutôt imberbe, je me rase une fois par semaine et cela suffit amplement, pareil pour mes jambes, oui je me rase les jambes étrange non pour un mec ? Je déteste les poils, une vraie psychose de nana, enfin bon. J’ai une tâche de naissance en forme d’as de pique, au niveau de la clavicule, je ne l’aime pas trop bien que les gens trouvent ça drôle, je la cache du mieux que je peux.


Mon style vestimentaire est peu définissable. Je m’habille un peu comme je le sens, la plupart du temps je m’inspire de la mode sans la suivre pour autant. Ce n’est pas parce que c’est à la mode que je le porterais mais parce que j’aime, donc même passé de mode je mettrais cette tenue. Je m’habille la plupart du temps avec des t-shirt de groupes de rock ou autres ou bien des chemises ou des t-shirt coloré, avec des slims noirs, puisque j’ai les jambes fines. Pour ce qui est des chaussures je porte des baskets un peu montantes dans le genre DC ou des vans, etnies, ou encore des Rangers etc. Niveau accessoires, j’aime les lunettes de soleil j’en ai différentes paires et souvent une sur la tête, j’ai aussi un collier en argent et une gourmette en or blanc. J’ai plusieurs piercings. Deux labrets décalés, un à l’arcade, trois dans le cartilage de l’oreille droite et deux de l’oreille gauche ainsi que plusieurs dans les lobes.


Marylin, ma vie à débuter sur ce prénom. Ma mère, Helena, était persuadée d’avoir une fille jusqu’à la dernière minute, et mon père avait respecté son choix de ne pas découvrir le sexe du bébé que j’étais avant que je naisse. Marylin, voilà comment on aurait dû m’appeler. Malheureusement pour ma mère, j’étais un garçon. Mon père était ravi, mais elle non. Je le vois encore aujourd’hui, elle ne souriait pas sur les photos, me touchait le moins possible. Mais je ne m’en souviens pas. Quand j’atteins l’âge de Six ans, ma mère tomba enceinte. À partir de cet instant de mon existence, on ne me prêta plus attention du tout et l’on oublia chaque année mon anniversaire. C’était ainsi je m’y étais habitué. Mon père m’acheta une guitare et un harmonica, comme si ces derniers pouvaient combler mon manque affectif.
C’était une petite fille cette fois pour son plus grand bonheur. Vous aviez deviné, elle l’appela Marylin. Un tout petit bout de jeune fille était là devant moi, et je la méprisais déjà. Je la détestais car ma mère lui souriait, la prenait dans ses bras, l’aimait. Et qu’avait-elle fait pour ? Elle était seulement venue au monde ! Chaque jour, je me battais pour rendre mes parents fiers, j’étais le premier de ma classe, le plus aimé, le plus mignon. Mais il y avait Marylin. J’avais 14 ans quand ma mère est morte. Accident de voiture, je n’ai pas pleuré.

« Quel fils ingrat ! »

Voilà ce que les vieilles dames disaient de moi à l’enterrement. Non je ne pleurais pas, non je n’essayais pas d’être fort devant ce spectacle tragique qui s’offrait à moi, devant un père brisé. Je n’avais même pas ce pincement au cœur. Maman était montée au ciel. Qu’elle brûle donc en enfer, pensais-je. J’avais récité froidement mon discours devant tout une armée de gens malheureux.

« Ma mère, s’appelait Helena, c’était une mère comme une autre, tendre et aimante, une mère comme il en existe peu. Ma mère était quelqu’un de formidable. Ma mère brûle en… Brûle d’impatience de nous revoir. »

Il faisait beau ce jour là, Marylin avait ses longs cheveux blond lâchés, elle était mignonne ainsi. Elle était triste, elle. Je lui murmurais à l’oreille.

« Si maman te voyais elle serait fière de toi. Mais maman est morte. »

Je retins un rire, j’étais méchant. Elle était partie voir mon père en pleurant et celui-ci l’avait calmement rassuré. Je soupirais et alla me poser sous un arbre, plus loin, à l’abri de ces gens hypocrites. Une jeune fille s’approcha de moi, elle non plus n’avait pas l’air triste. Elle portait une robe noire assez courte, et devait avoir seize ans, ses cheveux étaient d’un roux sublime, sa peau était pâle et des tâches de rousseurs s’étendaient sur ses joues rosées, rosées tout comme ses lèvres. Elle était belle, je crois que je suis tombé amoureux au moment où elle s’est assise à côté de moi, glissant avec grâce sur le tronc d’arbre, ses anglaises tombant sur sa poitrine.

« Tu n’as pas l’air triste, dit-elle, qui est mort ? »

Elle avait une voix assez aigue, calme et plate. Elle semblait épuisée. Elle posa sa tête sur mon épaule. Je tiens à préciser, que je ne faisais pas du tout mon âge et l’on me donnait facilement seize ans également.

« Ma mère, et toi ? Tu n’as pas l’ai triste non plus. Moi je ne le suis pas. »

Je passais mes bras autour des épaules de cette inconnue et la colla contre moi, sa peau était chaude, et la mienne gelée, c’était dû à une mauvaise circulation du sang. Elle ferma les yeux

« Mon père. Je suis désolée pour ta mère, et je ne suis pas triste non plus. C’était un enfoiré, je suis là par politesse. »

J’étais surpris par le dialogue qu’elle tenait, il m’était arrivé de dire quelques grossièretés, mais jamais sur mes parents, bien que je puisse les pensées. Et dans le milieu où je vivais – mon père était propriétaire à 80% d’une multinationale – il était rare d’entendre des jurons dans la bouche d’une fille. Je la serrais un peu plus contre moi, j’aimais bien sa façon d’être. Elle ouvrit les yeux, étonnée de mon étreinte je suppose, mais elle ne se détacha pas de moi pour autant.

« Je suis là par politesse aussi, ma mère ne m’a jamais prêté d’attention. Comment t’appelles-tu ? »

Elle me sourit, et j’eus l’impression de me perdre dans son regard, il était d’un bleu superbe… Je ne pus m’empêcher de descendre mes yeux sur son large décolleté, laissant apercevoir sa magnifique poitrine. Je rougis un peu de ce que je venais de faire, détournant le regard. Elle m’avait vu faire et se contentait d’en rire. Je n’avais que quatorze ans, et j’étais gêné.

« Maryline Deschamps, je suis française, tu as du remarquer que mon accent était pitoyable. Et toi bel inconnu ? »

Elle riait, que c’était bon, d’entendre son rire. Mais elle s’appelait Maryline, elle aussi, ma vie n’était-elle peuplée que de Maryline ?! J’embrassais son front, surpris par cette femme qui possédait une fraicheur de vivre incroyable.

« Andrew… Je n’avais pas prêté attention à ton accent, sûrement car il est parfait. Tu es ici pour longtemps ? »

Elle haussa les épaules en riant, et m’embrassa. Ce n’était pas mon premier baiser, mais c’était de loin le plus fantastique. Je lui rendis délicatement, mes mains attrapant ses hanches. Nous étions si loin de tout. Elle attrapa ma main et se leva, puis se mit à courir en direction des toilettes publiques, nous enfermant dedans. Elle m’embrassa à nouveau, il faisait sombre, mais on y voyait assez bien.

« Peu importe le temps que je reste…, me murmura-t-elle à l’oreille tandis qu’elle me déshabillait et que j’en faisais de même. »

C’est ainsi qu’à quatorze ans, une fille que je connaissais à peine mais que j’aimais d’un amour intense, me dépucelait dans des toilettes publiques. Quelle classe Andrew… Elle parti une fois que ce fût fini. Je restais là, dans ses toilettes, à repenser à ce moment unique et merveilleux.

J’avais maintenant seize ans, je n’avais pas oublié cette jeune femme, mais je continuais ma vie. On me traitait de Don Juan dans mon lycée, et je ne niais pas. Un jour en rentrant chez moi, je surpris mon père avec une autre femme. Elle s’appelait Annabelle, mon père allait l’épousée, elle était enceinte, enceinte de lui. Sa fille et elle emménagerait bientôt chez nous. Vous ai-je dis, le nom d’Annabelle ? Deschamps. La mère et la fille ne se ressemblait pas du tout, tout comme je ne ressemblais pas à mon père. Je tenais de ma mère, c’est plutôt comique non ?

Mon adolescence se passait très bien, très normalement. J’avais d’excellent résultat scolaire et j’étais élu roi du bal de fin d’année tous les ans. J’étais populaire malgré mon caractère exécrable de gosses de riches.

Maryline et Annabelle emménagèrent chez nous. Maryline adorait ma petite sœur, tout autant que je la détestais. Je crois qu’elle s’intéressait à elle pour ne pas à avoir à me regarder en face. Nous nous rappelions très bien de l’enterrement de nos parents. C’est d’ailleurs là bas que s’étaient rencontrés nos parents, puis ils s’étaient retrouvés à une réunion pour l’entreprise. Sa mère était traductrice. Nos corps se frôlaient dans les couloirs, et à table elle caressait ma jambe. Je n’arrivais pas à lui dire non. Je l’aimais.

Nous entretenions une relation assez incestueuse dans le dos de nos parents respectifs, mais je savais pertinemment que cela ne pouvait pas durer. Mais ce jeu était désormais trop avancé pour se finir ainsi. Elle me menaçait de tout dire à nos parents si j’y mettais fin. Avec le recul je me dis qu’elle ne l’aurait jamais fait mais je n’avais pas non plus envie de mettre fin à ce jeu. Je pense qu’elle m’aimait aussi, d’une manière différente.
Lorsqu’elle eût ses dix neuf ans elle partie de la maison familiale avec son petit ami – avec qui elle était depuis peu. Je la regardais partir avec regret mais aussi heureux d’être enfin libérer de ce jeu. Mais je connaissais ma belle sœur et je le savais manipulatrice. Je demandais à partir de la maison à mon tour pour venir ici. J’allais avoir dix huit ans bientôt et je partirais dès que je les aurais.

C’est ainsi que je me suis retrouvé ici à la Princess Academy. Jamais je n’aurais cru être choisi comme princess…

Famille

Ma mère : Helena V. Valentine, décédée. Je n’ai pas connu cette femme qui vivait pourtant sous le même toit, à vrai dire je pense qu’elle me détestait.
Mon père : Joshua V. Valentine, rien à dire sur lui, ce n’est pas un père exemplaire mais un bon portefeuille.
Ma belle mère : Annabelle Deschamps, je ne la connais pas vraiment je sais juste qu’elle a accouchée d’Hanna, enfant qu’elle a eut avec mon père
Ma sœur : Marylin, je la hais.
Ma belle sœur : Maryline, je ne dirais rien.

Souvenir hanté

Quand j’étais petit, mon père n’était pas là, et je devais avoir quatre ans, ma mère a essayé de me noyer dans mon bain. Je crois qu’en cette période elle était sous anti dépresseurs. Je ne l’ai jamais dit à personne et je ne sais pas si c’était un mauvais rêve ou la réalité mais j’en rêve souvent maintenant. Bien entendu je ne pense pas qu’elle aurait eut le courage de me tuer.

Secret

J’ai pendant quelques temps eut une relation incestueuse avec ma belle sœur Maryline.

Vous

Pseudo(s): L u l l a b y
Age: 14*
Temps sur le forum: 8/ 10 le week-end et 2/10 la semaine ( internat )
Niveau de RP: Moyen-Fort

Où avez-vous connu le forum? : Partenariat avec un autre
Avez-vous lu le règlement ? : Yes ~

Merci bien. J'ai corrigé ma faute, même si je doute que ce soit la seule. Mais, ma reine, il faut le savoir "reproche" est un mot masculin... Enfin merci quand même.

Ha....je pensais c'était féminin >.< autant pour moi, désolé ^^

Ce n'est rien. Après tout ce n'est qu'une toute petite faute ; )

Willkommen bei dir!!

Danke schön.

Bienvenue sur le forum et j'espère que tu y passeras un bon moment.

Je te valide donc et te souhaites bon jeu!

Merci ~